Tirelire Karl Marx objet de l'absurde

Je ne pouvais faire autrement que de vous présenter mon achat du jour, une Tirelire Karl Marx.

Oui oui, vous avez bien entendu une Tirelire (accumulation de capitale) et Karl Marx les deux en un.

J'ai trouvé cet objet en tel décalage avec l'idée et ce que peut symboliser Karl Marx que je n'ai pu faire autrement que de me l'acheter. Je me disais comme ça la prochaine fois que ma belle-mère viendra à la maison… Je mettrai ma tirelire sur la table comme ça par hasard!  et hop, je suis sûr qu’on aura un sujet de conversation :D

Et je l'ai trouvé aussi sur Amazon si cela vous intéresse :) Tirelire  Karl Marx




Et vous, avez-vous un objet de l'absurde? 

Les milles et une gaffes de l’ange gardien Ariel Auvinen, Arto Paasilinna

Auteur: Arto Paasilinna
Titre Original: Les milles et une gaffes de l’ange gardien Ariel Auvinen
Date de Parution : 2 avril 2014
Éditeur : Denoël
Prix : 20,50€ 19,48€

Quatrième de couverture : Après avoir quitté son poste de gestionnaire d'une usine de granulés de bois, Aaro Korhonen achète à Helsinki un local dont la propriétaire vient de mourir et décide d'ouvrir une brocante-bouquinerie-salon de thé. Il retrouve un vieux copain, Oskari Mättö, qui l'accompagnera avec son corbillard dans toutes ses aventures. Les ennuis commencent quand Ariel Auvinen après avoir suivi dans le ciel un séminaire d'initiation à la mission d'ange gardien se voit attribuer la protection d'Aaro. En ange gardien modèle, il cherche tout d'abord à contrarier les projets de son protégé, qui veut vendre de l'alcool dans son salon de thé, puis se met en tête de lui trouver une épouse convenable, voyant d'un mauvais oeil son idylle avec la serveuse du salon de thé. Il jette son dévolu sur une institutrice, Mlle Ritva Nuutinen, qui, sous son influence, débarque à Helsinki. Mais c'est sans compter un démon qui est bien décidé à se débarrasser du zélé ange gardien.



Œdipe reine, Marcela Iacub

Auteur: Marcela Iacub
Titre Original: Œdipe reine
Date de Parution : 2 avril 2014
Éditeur : Stock
Nombre de pages : 144
Prix : 17,00€ 16,15€

Quatrième de couverture : Réussir sa vengeance n’est pas à la portée de tout le monde, pense Juliette. Il faut l’intelligence d’un savant, la précision d’un archer, la patience d’une taupe. Car, pour se venger, il faut que l’offensé mette l’offenseur à sa place. C’est ainsi que Juliette tentera de se venger de Samuel, son ancien amant. Elle se servira de tout son savoir théorique et pratique en matière de sexe pour que Samuel, qui est un abuseur de femmes, soit abusé à son tour de la même manière. Cette volonté froide, cette démarche rationnelle et analytique donnera lieu à l’intrigue la plus horrible, la plus dérangeante, la plus immorale. Et ce non seulement parce que Juliette, pour être fidèle à son plan, va outrager les piliers les plus sûrs de notre culture sexuelle, mais aussi et peut-être surtout parce que ce personnage, loin d’être une folle, une criminelle, une Autre est une femme dont les raisonnements, la sensibilité, les émotions et même les expériences sont étrangement très proches des nôtres.
À la différence d’autres récits sulfureux célèbres comme ceux de Sade, celui-ci va faire peur, va exciter, va ravager parce qu’il raconte une histoire que chacun d’entre nous pourrait désirer vivre aussi bien en prenant la place de Juliette que celle de sa malheureuse victime.

Extrait
La vérité est qu'il était incapable d'envoyer les femmes au ciel avec sa queue. Voilà pourquoi tout a commencé. Ou plutôt parce qu'il refusait de l'admettre. Ce conflit le poussait à faire appel soit à des putes soit à des femmes amoureuses. Mais comme il était pingre il se contentait des amoureuses, sauf pendant les périodes où la gloire lui souriait et les putes lui étaient offertes. Et il en trouvait toujours parce qu'il était parfaitement indifférent à l'âge, à la beauté ou à l'esprit de ses maîtresses. Sans compter qu'il n'avait aucun scrupule à se jouer de leurs sentiments ou de leurs plaisirs en se déclarant amoureux d'elles à son tour. Seul lui importait qu'elles lui disent : «Ta queue est un cadeau somptueux. Elle est majestueuse. Jamais je n'avais été transpercée par un organe aussi accablant, aussi impressionnant.» Alors qu'elles ne se rendaient même pas compte si elle rentrait, sortait ou mourait. Et même quand il enculait, elle était incapable de faire naître la gratitude exquise que produit la douleur.
Cependant, la joie que lui provoquaient ces phrases était trop ténue pour le satisfaire. Samuel était conscient que ces femmes lui mentaient. Ainsi cherchait-il à compenser avec toutes sortes de brutalités les duretés qu'il ne pouvait pas leur infliger. Il les manipulait comme si leur corps était en plastique. Il les tordait dans tous les sens. Il leur provoquait des sciatiques, des lumbagos, des bleus, des paralysies partielles. Et il les traitait de «sales putes», de «sacs à bites», de «trous infâmes». «Je vais te baiser, je vais te faire enfiler par l'ensemble de la planète. Je te viole, je te défonce, je pisse sur toi, écarte tes jambes et montre-moi, tu n'es rien, rien», leur criait-il. Jamais il ne s'arrêtait de parler, de promettre, de menacer, d'injurier. Et moi je pensais : «S'il pouvait m'enfoncer une belle queue il se tairait, il serait doux, il m'aimerait.»
La puissance des bites avait toujours été fondamentale pour moi. Et c'était moins la taille ou la grosseur de cet organe qui comptait que son élasticité. J'avais compris assez tôt qu'il n'y a que celles de cette race si spécifique qui peuvent réveiller la méduse qui sommeille au fond de nos abîmes et dont la fonction est de nous avaler tout entières. Non seulement la totalité de notre géographie mais aussi de notre biographie, de notre mémoire, de notre condition humaine. Nous remercions alors Dieu qui n'existe que pour être le réceptacle de la reconnaissance que nous ressentons. Tandis que les hommes qui n'ont pas le pouvoir de la réveiller ne nous procurent que des jouissances limitées, celles qui viennent du clitoris qui ne nous permettent pas d'accoucher de Dieu, mais juste d'adoucir l'aridité générale de la vie humaine. On le lèche, on le frotte et nous sommes englouties pendant quelques secondes et d'une manière très superficielle.


Sans télé on ressent davantage le froid, Titiou Lecoq

Auteur: Titiou Lecoq
Titre Original: Sans télé, on ressent davantage le froid
Date de Parution : 2 avril 2014
Éditeur : Fayard
Nombre de pages : 312
Prix : 18,50€ 17,58€

Quatrième de couverture : Comment survivre à une rupture amoureuse ? Comment s’insérer dans une société qui, clairement, n’attend pas les bras ouverts un bac + 5 de sémiologie ? En adoptant une technique de survie simple : la débrouille. Avec un journal de bord hilarant, Titiou Lecoq livre la cruelle réalité de toute une génération, pour qui la vie moderne est jalonnée d’obstacles, dont le premier consiste à sortir de son lit le matin. Se dessine le quotidien d’une jeune femme d’aujourd’hui, qui passe sa vie entre les boulots, les cartons, ses amis précieux et les histoires foireuses. Incapable de survivre sans télé ni ordi. À la recherche du « connard merveilleux », elle teste plusieurs formules (dont un Partenaire Chocapic avec qui partager ses petits-déjeuners). Car elle doit aussi faire face aux nouveaux rapports hommes/femmes : on discute, on boit, on baise. Le lendemain, on se réveille et on réfléchit. Voici la trajectoire décapante d’une trentenaire, depuis le départ de son premier amour jusqu’à la découverte de la vie avec Têtard, son fils. Titiou Lecoq raconte le quotidien de toute une génération. Caustique, drôle, elle décrypte une époque où on ne badine pas avec l’amour. Ni le porno.


J’ai sauvé la vie d’une star d’Hollywood, Laurent Bénégui

Auteur: Laurent Bénégui
Titre Original: J’ai sauvé la vie d’une star d’Hollywood
Date de Parution : 3 avril 2014
Éditeur : Julliard
Nombre de pages : 280
Prix : 20,00€ 19,00€

Quatrième de couverture : Quitté par sa femme, limogé de la série télévisée sur laquelle il travaille, flanqué de deux préadolescentes déchaînées avec qui il partage un appartement minuscule, Laurent Labarrère n'a plus un sou en poche. Pour autant, doit-il accepter la commande de Boris Modeskovine, un truand obligé de se reconvertir dans le cinéma pour raison de santé – écrire un film dont le rôle principal est promis à une actrice mondialement célèbre ? Après tout, on ne lui demande que d'écrire, et le mafieux, prêt à lui verser cent mille euros en liquide, semble avoir des liens réels avec la star hollywoodienne...


Court Métrage du Dimanche – Mr Hublot (Oscar 2014 du meilleur court-métrage)

 

Monsieur Hublot vit dans un monde où se côtoient des personnages rapiécés, en partie mécanique, au volant de véhicules démesurés, un monde où le gigantisme de la mécanique et l'acharnement à la récupération règnent en maître.
Mr Hublot est un vieux garçon célibataire qui mène une petite vie bien réglée dans son petit appartement de banlieue regorgeant de gadgets en tout genre
Hublot est bourré de toc, de manies, effrayé par le monde extérieur, reclus sur lui-même. Il déteste le changement et les imprévus. Il a d'ailleurs trouvé une parade très efficace à cela : ne jamais sortir de chez lui !
L'arrivée du chien Robot Pet va chambouler les habitudes de Mr Hublot, contraint et forcé de faire vie commune avec ce nouveau compagnon très envahissant.








Sortie Ciné: Rio 2

Réalisateur: Carlos Saldanha
Avec: Anne Hataway, Jesse Eisenberg, Jamie Foxx
Titre Original : Rio 2
Distributeur : Twentieth Century Fox
Date de sortie : 9 avril 2014

Synopsis : Blu a pris son envol et se sent désormais chez lui à Rio de Janeiro, aux côtés de Perla et de leurs trois enfants. Mais la vie de perroquet ne s'apprend pas en ville et Perla insiste pour que la famille s'installe dans la forêt amazonienne. Alors que Blu essaie de s'habituer à ses nouveaux voisins, il s'inquiète de




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Couverture improbable du journal d'Anne Frank

Je ne pouvais faire autrement que de vous présenter la couverture improbable du journal d'Anne Frank. C'est en vaguant sur twitter que je l'ai découverte grâce à Che_SYoung. Sur la couverture nous pouvons voir une jeune femme en veste en jean, rappelant plus facilement les années 50's qu'une jeune juive allemande pendant la seconde guerre mondiale.



Pour occasion, je me suis amusé à créer une couverture improbable en 2 minutes du roman Ça de Stephen King... On ne sait jamais ma version pourrait intéresser un éditeur coréen...


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Rencontre avec Tatiana de Rosnay à L’Institut français de Barcelone


Le mercredi 26 mars Tatiana de Rosnay était à l'institut français de Barcelone pour présenter son roman Tinta rusa (A l'encre russe), vivant sur Barcelone, je n'ai pas hésité une seconde à venir écouter Tatiana de Rosnay.


Je vous entends déjà dire « Mais le roman A l'encre russe est sortie en mars 2013 ! », et bien oui je sais, mais les versions espagnole et catalane sont sorties le 24 mars 2014, juste avant San Jordi (la fête du livre et de la rose en Catalogne).

Je ne vais pas vous raconter l'intrigue du livre, car je présume que vous la connaissez tous, mais plutôt revenir sur quelques anecdotes et sympathiques questions qui ont pu être posées lors de cette rencontre.
Il va de soit qu'a Barcelone, capitale de la catalogne et terre du bilinguisme (Espagnol/Catalan), lui soit posé la question de si elle traduisait elle-même ces propres romans. Mais Tatiana de Rosnay explique très bien qu'elle n'est pas traductrice et reste souvent très critique envers ses romans et si elle devait les traduire, il est fort probable qu'elle change beaucoup d'éléments de ses romans.

Cependant comme elle n'aimait pas trop la traduction française de A l'encre russe, elle a repris le travail de traduction pour qu'il « colle » à l'âme de son roman. Elle a mis sa marque. Tatiana de Rosnay en est arrivée à la conclusion qu'elle aimerait pouvoir faire faire la traduction de ses livres de manière plate et part la suite retravailler elle-même traduction, mais il s'avère que son éditeur n'est pas trop en faveur.

Pour la petite histoire, elle a écrit son premier livre à 11 ans, prise du grippe qui la bloque pendant une semaine à la maison, elle écrit dans un gros cahier Pierre Fontaine son premier roman en anglais pour l'anniversaire de sa mère. Elle fut encouragée par sa mère « C'est une vraie histoire, tu devrais continuer ». Ce qui déclencha chez elle une véritable profession et depuis ce jour écrit un livre par an. Mais malgré une grande production romanesque, elle présentera son premier manuscrit à une maison d'édition qu'à l'âge de 30 ans.

Une personne du public lui a demandé son avis sur les ebook et Tatiana de Rosnay grande lectrice, avec humour expliquait qu'elle serait « capable de voler un livre dans un gare si elle n'en n'avait pas sur elle », dit préférer le papier mais l'important selon elle, est que les gens continue de lire.

Un autre curieux a demandé ses auteurs favoris : Zola (Thérèse Raquin), Maupassant, Baudelaire, Patrick Modiano, Serge Joncour, Kathrine Tuil, Daphnée du Maurier, Edgard Alan Poe, Virginia Woolf et Stephen King qu'elle trouve très efficace.

A l’encre russe est publié chez Amsterdam pour la version catalane (Tinta russa) et Suma de letras pour la version espagnole (Tinta rusa)




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Un visage dans la foule, Stephen King

Titre Original: A face in the Crowd
Date de Parution : 17 mars 2014
Éditeur : Bragelonne
Nombre de pages : 39
Prix : 2,99€

Quatrième de couverture : Depuis la mort de sa femme, Dean Evers trompe l’ennui de ses vieux jours devant les matchs de baseball à la télévision. Quand soudain, dans les gradins, il découvre au cœur de la foule un visage surgi du passé. Quelqu’un qui ne devrait pas être là, au stade... ni même parmi les vivants.

Soir après soir, Dean se laisse hypnotiser par les visages de ceux qu’il n’espérait – ou ne voulait – plus voir. Mais le pire est à venir...

Mon avis : Le mois de mars aura connu la sortie de deux nouvelles de Stephen King en numérique, la première Sale Gosse que vous pouvez retrouver ici et aussi Un visage dans la foule publié par les éditions Bragelonne.
Dans un premier temps, je vous direz qu'une nouvelle de Stephen King ne peut être que bonne, car écrite par Stephen King, mais je dois bien reconnaître qu'un visage dans la foule ne m'a pas spécialement emballé.
Rapidement, on comprend ce que sera la chute du livre et c'est u peu dommage.
Avec seulement 39 pages, nous avons vite fait de lire cette nouvelle qui ne restera pas dans les annales, mais malgré tout reste agréable à lire.


Le principe de Pauline, Didier Van Cauwelaert

Titre Original: Le principe de Pauline
Date de Parution : 2 mai 2014
Éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 320
Prix : 20,00€ 19,00€

Quatrième de couverture : " Pauline avait un grand principe, dans la vie : l'amour ne sert qu'à construire une véritable amitié. Maxime et moi en sommes la démonstration vivante. " A vingt ans, Quincy Farriol reçoit pour son premier roman le prix de la Maison d'arrêt de Saint-Pierre-des-Alpes. Dans la librairie déserte où il dédicace, ce grand dépressif rencontre Pauline, sublime étudiante qui s'est portée volontaire pour lui servir d'assistante. C'est la compagne de Maxime, président du jury des détenus, un voyou au grand coeur, pris dans un complot contre un politicien véreux, dont il est le garde du corps et qu'il ne trahira jamais. Condamné pour un crime qu'il n'a pas commis, Maxime veut que Pauline refasse sa vie. Et il charge " son " lauréat d'une mission de confiance


L’élixir d’amour, Eric-Emmanuel Schmitt

Titre Original: L’élixir d’amour
Date de Parution : 2 mai 2014
Éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 120
Prix : 15,00€ 11,40€

Quatrième de couverture : Existe-t-il un moyen infaillible de rendre quelqu’un amoureux ? Séparés, Louise et Adam habitent désormais à des milliers de kilomètres, lui à Paris, elle a Montréal. Par courrier, ils se lancent un défi : provoquer l’amour à coup sûr. Leurs échanges épistolaires, tout en évoquant les blessures du passé, racontent leur nouvelle vie, leurs nouvelles aventures et leurs réflexions sur le mystère des attirances et des sentiments. Mais ce jeu qu’est l’élixir d’amour – un piège qui provoque la passion – ne cache-t-il pas une autre manipulation ?



La fête de l’insignifiance, Milan Kundera

Auteur: Milan Kundera
Titre Original: La fête de l’insignifiance
Date de Parution : 3 avril 2014
Éditeur : Gallimard
Nombre de pages : 144
Prix : 15,90€ 15,11€

Quatrième de couverture : Jeter une lumière sur les problèmes les plus sérieux et en même temps ne pas prononcer une seule phrase sérieuse, être fasciné par la réalité du monde contemporain et en même temps éviter tout réalisme, voilà La fête de l'insignifiance. Celui qui connaît les livres précédents de Kundera sait que l'envie d'incorporer dans un roman une part de "non-sérieux" n'est nullement inattendue chez lui. Dans L'Immortalité, Goethe et Hemingway se promènent ensemble pendant plusieurs chapitres, bavardent et s'amusent. Et dans La Lenteur, Véra, la femme de l'auteur, dit à son mari : "Tu m'as souvent dit vouloir écrire un jour un roman où aucun mot ne serait sérieux... je te préviens : fais attention : tes ennemis t'attendent". Or, au lieu de faire attention, Kundera réalise enfin pleinement son vieux rêve esthétique dans ce roman qu'on peut ainsi voir comme un résumé surprenant de toute son oeuvre. Drôle de résumé. Drôle d'épilogue. Drôle de rire inspiré par notre époque qui est comique parce qu'elle a perdu tout sens de l'humour. Que peut-on encore dire ? Rien. Lisez !